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Slaine - Le gentil pirate !
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Slaine


≈ Slaine ≈


Fantassin/Epésite
▬ ft. Horikawa Kunihiro de Touken ranbu

Prénom(s). Slaine ≈ Surnom(s). ici ≈ Âge. 19 ans ≈ Lieu de naissance. Khor ≈ Sexe. Masculin ≈ Race. Humain ≈ Sexualité. Pansexuelle ≈ Lieu de vie. Khor ≈ Métier/Occupation. Pirate du Liévathan ! ≈ Croyance. En ses camarades du Liévathan, son capitaine et en lui-même !


Informations diverses. Pas très grand malgré son âge, il fait 1m68 cependant il a appris à vivre avec. Il porte tout le temps des boucles d'oreilles rouges très petites. Ses passes-temps favoris : faire la cuisine, s'entraîner et aider les autres ! Il utilise un katana, il adore la mer et voyager !


Caractère

Gentil - Sincère - Courageux - Serviable - A l'écoute - Astucieux - Patient - Sûr de soi - Paisible - Souriant - Sérieux
Peu être sanguinaire - Légèrement sadique - Rêveur - Sensible - Curieux - Très franc - Persécuteur avec les nobles - Légèrement moqueur


Story

Chapitre 1 :Le début d'une histoire

« Tu sais, tu dois être gentil avec les autres. Tuer ou voler c’est mal, tu es quelqu’un de bien et tu dois le rester. Si tu aides les autres alors les autres t’aideront. Tu n’accompliras rien en faisant des choses de mal, crois-moi je suis bien placée pour le savoir. Cela n’apporte que malheur et désespoir, tu vis alors avec un poids sur les épaules. Alors, Slaine, garde bien cela en tête, le monde est cruel mais, ce n’est pas une raison pour l’être aussi car il peut aussi nous offrir de merveilleuses choses. Le bonheur tout le monde y a accès et tu peux en donner aux autres. »

Ces paroles, tu les as toujours entendus, depuis ton plus jeune âge, la voix de cette charmante femme qui te caressait la tête avec un doux sourire, elle te le répétait sans cesse. Autrefois tu ne la comprenais pas, tu ne pouvais comprendre le sens de ses paroles, tu acquiesçais juste comme ça, par innocence et naïveté. Cela remonte il y a bien longtemps, pourtant tu t'en souviendrais comme si c'était hier, son visage, sa voix, celle d'une mère aimante qui te rassurait, qui t'apprenait tout et était toujours là pour toi. Si tu ne connaissais pas ton père, tu n'en avais rien à faire du moment qu'elle était là, si tu posais des questions sur elle ou sur lui, furtivement elle esquivait et ne te donnait jamais de réponses. Ta vie était plutôt banale, enfant né à Khor, ta mère avait quelques difficultés d'argents mais, ça pouvait encore aller, vous aviez un logement, de quoi vous nourrir, cela était amplement suffisant. Tu l'aimais énormément tout comme elle semblait t'aimer plus que tout, si jamais vous étiez très proches, même enfant tu avais l'impression de ne pas vraiment la connaître, tu ne la connaissais sans doute pas du tout. Tu ignorais tellement de choses, à cette époque, tu ne pouvais t'empêcher de te poser des questions qui n'avaient pas de réponses. C'était un sentiment étrange qui t'envahissait, pourtant tu n'insistais pas plus et parfois, les seules phrases auxquelles tu avais le droit c'était :

« Tu es trop jeune pour comprendre. »
« Tu es curieux, ce n'est pas bien Slaine. »


Et tu ne pouvais pas répliquer, tu n'osais pas, dans ces moments tu voyais dans son regard une grande tristesse, tu ne voulais surtout pas la blesser, ce serait quelque chose que tu ne te pardonnerais jamais. Chaque soir, alors qu'elle te bordait avec un drap en mauvais état, elle te chantait une petite berceuse, ta racontait des légendes et des histoires, tu fermais les yeux et plus tard elle partait, tu entendais la porte s'ouvrir et se refermait, elle partait chaque soir. Même si tu te demandais où elle allait, tu ne faisais rien d'autre que de te poser la question, tu ne savais pas quand elle revenait, à chaque tu avais le temps de t'endormir. La peur de la perdre pendant ton sommeil ne t'avait jamais traversé l'esprit, à chaque fois le matin lorsque tu étais réveillée elle était là, te regardant avec ses beaux cheveux bruns et ses yeux pareils à des émeraudes, vous vous ressembliez fortement tous les deux, tu étais presque son portrait craché bien que contrairement à elle, tes yeux étaient semblables à la mer, cette étendue que tu voyais chaque jour, vivre dans une ville portuaire était plutôt bien, tu t'es trouvé très tôt une passion pour l'eau et la mer, tu rêvais de monter sur un bateau et de voir ce qu'il y avait au-delà de cette eau immense. Cependant, à cette époque tu étais fragile et pour tu ne sais quelle raison, ta mère te disait que pour le moment, traverser tout ça était impossible. La curiosité envahissait tout ton être, parfois lorsque vous sortiez tous les deux, tu t'arrêtais, tu regardais et tu te posais des questions et à chaque fois, une douce voix te ramenait à la réalité. Khor, ville où vivait les pirates et les nobles, ta maternel semblait ne pas apprécier ces deux factions. Pour elle, ils étaient aussi pourris l'un que l'autre et exploitait autrui. Ce n’était pas rare que des gens bourrés ou des dragueurs l’abordait, dans ces moments-là, elle te serrait contre elle, tu ne les regardais pas mais, tu pouvais voir le regard noir et imposant de cette femme. On peut dire que tout allait pour le mieux non ? Une vie simple, banale, tout allait bien mais, c’est parce que tu étais ignorant. Tu ne savais pas que ta mère rentrait tôt le matin, qu’elle était chaque fois couvert de sang et qu’elle se lavait pour t’accueillir, que parfois elle prenait des bouts de tissus pour cacher ses blessures, tu ne savais pas qu’elle sacrifiait énormément de choses pour vous. Et surtout pour toi.

Ta vie s'est déroulée normalement jusqu'à tes 12 ans, oh que oui, tu te rappelleras de cette année toute ta vie, de ce jour qui a tout déclenché. C'était un soir, tout était normal, tu étais un jeune enfant débrouillard, tu n'entendais plus d'histoires le soir, tu n'étais plus bercé par ses chants mais, tu rangeais la maison, faisait à manger le plus souvent pour aider du mieux possible ta chère mère, à chaque fois lorsqu'elle partait « travailler », tu lui affichais un sourire doux et tu lui disais :

« A demain ! »

Cependant, il y eut cette nuit-là.

Chapitre 2 : Les péchés sont humains.

Alors que tu lisais un livre que ta mère t'avait apporté il y a quelques jours de cela, tu entendis la porte s'ouvrir d'un coup, il était encore tôt, ce n'était pas une habitude de ta mère. Tu t'étais levé en sursaut prenant un vulgaire balai pour seule arme et pour seule défense. Prêt à fuir, prêt à contre-attaquer, tu n'osais pas sortir de ta chambre mais, la porte de celle-ci s'ouvrit bruyamment, à ta plus grande surprise tu vis ta mère recouverte de sang et paniquée, katana à la main, en te voyant, celle-ci se mit à crier ton nom et à te dire de prendre tes affaires et partir vite. Si la situation tu ne la comprenais pas, tu savais que c'était grave, tu fis ce qu'elle te dit de faire de manière rapide, des soldats entraient dans votre maison, sans hésitation, avec finesse et élégance, ta mère trancha la gorge de ces hommes pour ensuite te prendre par la main alors que tu tenais seulement le livre que tu étais en train de lire et les poches d'argents qui vous servaient pour vivre. Ensemble vous quittèrent cette maison, elle te demanda de courir, c'est que tu fis, dans la pénombre alors que le magnifique reflet de la lune était visible sur la mer paisible. Après tu ne sais combien de temps à courir, à fuir tu ne sais quoi, essoufflé, finalement tu t'arrêtas épuisé tandis que ta mère te regardait pour ensuite de dire d'approcher et vous mettre à l'abri des regards. Assis tu voulais des explications, tu voulais mais, tu n'osais pas demander. Vous vous dirigiez vers les montagnes, c'est tout ce que tu savais, tu n'avais plus de maison, juste ton livre et une bourse tandis que ta mère elle, n'avait que son katana où dégoulinait du sang, du sang si rouge, cela t'effrayait, elle qui t'avait tant dit à quel point tué était mal, elle venait de la faire sans hésitation, comme si elle avait toujours fait et quelques cadavres de plus ce n'était pas grand-chose. Tu voulus prendre la parole mais, elle le fit avant toi :

« On va aller vers les grottes Chugo pour ensuite si possible aller vers Reytel et se faire tout petit. On commencera une autre vie, on vivra là-bas. Je suis sûre que des gens accepteront de nous aider. »

« Reytel est loin non ? Cela va prendre des mois... »

« Je sais. Mais, on ne peut pas prendre le risque d'aller dans des villes proches de la capitale et puis, Uziri est un endroit trop dangereux pour toi. On a de l'argent, je pense qu'on peut s'en sortir. On mangera le strict minimum jusqu'à ce qu'on soit arrivé à destination. »


« Mère.... Dis-moi ce qu'il se passe... »

Son visage se décomposa, elle te regarda, toute cette tristesse dans ses yeux te serra le coeur, elle mit ses deux mains sur les joues, sa voix tremblait légèrement, ses mains étaient sales, pleines de sang, tu sentais le liquide rouge sur ta peau, cela te dégoûtait, tu revoyais la scène, tu avais envie de vomir, pourtant quand tu voyais le visage de ta mère tu n’osais, tu avais l’impression que c’était elle qui était le plus terrorisée dans cette histoire. Elle prit une inspiration, te parlant avec sa voix douce, tremblante avec un ton à la fois si triste :

« S’il te plaît Slaine, ne me demande pas ça. Tu es trop jeune, je ne peux pas te le dire, ne m’oblige pas à tout te raconter. Pas maintenant, je t’en supplie. Je ne veux pas te raconter tout ce j’ai fait, tout ce que j’ai subi... »

Elle était aux bords des larmes, culpabilité ou non, tu ne savais ce qu'elle ressentait, tu l'as prise dans tes bras, malgré le sang sur elle, tu ne savais combien de morts elle avait sur les épaules, néanmoins tu ne pus rien dire, tu la serrais contre toi les larmes aux yeux, toujours rempli de questions sans réponses. Vous aviez repris la marche, en étant extrêmement discrets, la fatigue prenait le dessus, tu t'endormais petit à petit, tu aurais voulu te laisser tomber pour trouver sommeil cependant, tu devais lutter et ce n'était pas une option, tout ce que tu pouvais faire était de suivre cette femme, vous dirigeant vers les montagnes. Dans la forêt, seuls et à l'abri des regards, vous finîmes finalement par faire une pause, tu t'écroulas et t'adossas contre un arbre, le tronc n'était pas agréable mais, tu devais t'en contenter. Tu fermas les yeux et sans difficultés, tu finis engloutit par ton subconscient, porté par de doux rêves dont tu ne te souviendrais peut-être pas, mais, là, tu ne pouvais rêver. SI tu te faisais engloutir, c'était par les ténèbres, tu n'avais jamais connu ça, tu voyais de nouveau les corps, ta mère qui les tuait sans scrupules puis son visage triste. Effrayé, tu te recroquevillais, tu entendais des voix qui disaient que ta mère était un monstre, un assassin. Tu ne pouvais croire que celle que tu aimais tant puisse ôter des vies si facilement. Tu lui en voulais ? Non, tu ne savais juste pas quoi en penser. Tu ne comprenais plus ses paroles, ni la situation dans laquelle tu te trouvais. Le lendemain, le réveil fut dur, très dur, elle te releva gentiment et vous reprîmes la marche. Ce fut long, très long, les semaines passaient terriblement lentement, quand vous passiez dans des villages, quand vous croisiez des passants, ta mère volait sans difficultés. Vous aviez une bourse mais, pour elle, il fallait la garder pour trouver une maison à Reytel.

« Tu sais, tu dois être gentil avec les autres. Tuer ou voler c'est mal, tu es quelqu'un de bien et tu dois le rester. Si tu aides les autres alors les autres t'aideront. Tu n'accompliras rien en faisant des choses de mal, crois-moi je suis bien placée pour le savoir. Cela n'apporte que malheur et désespoir, tu vis alors avec un poids sur les épaules. »


Ces paroles te revenaient, celles dont tu n'avais jamais compris le sens ou essayé de le comprendre, tout ça prenait un sens et en même temps t'embrouillait plus. Pourquoi faisait-elle tout cela alors ? Pourquoi ? Tu avais beau te poser la question, ce n'était soit disant pas le moment pour le savoir. Avec beaucoup de difficultés, en vous cachant, en volant, en chassant,vous arrivâmes à destination. Reytel. Ce village était prospère, beau, contrairement à tout le calvaire que vous veniez de vivre durant ces longues semaines, voir ces mois. Vous étiez fatigués, épuisés, affamés aussi, sales et avec toujours les mêmes vêtements, vous faisiez peur aux gens, vous étiez sans aucun doute suspect. Ta mère entra dans une auberge et alla voir le gérant, posant une grosse somme d'argent, elle fit un regard désespéré :

« Nous avons été attaqués par des Ulfhedhins, nous n'avons plus rien, s'il vous plaît acceptez de nous héberger. »

Le mensonge est un péché humain, c'était grotesque, pour votre survie, elle était prête à tuer, à mentir, sombrant dans les ténèbres, cette femme était remplie de péchés, des péchés que jamais elle ne pourrait laver ses crimes, même pas avec la mort. Elle cachait tellement bien son jeu, son arme personne ne pouvait la voir, dissimuler sous une cape qu'elle avait récupéré d'un marchand qui était sur son chemin. L'aubergiste accepta, ayant pitié de vous deux, mais, il ne savait pas la vérité et il n'avait pas à le savoir. Vous aviez une chambre, un endroit où dormir, de vrais lits, tu étais heureux mais, cette joie disparaissait aussitôt dès que tu te rappelais du chemin que vous aviez parcouru pour arriver là. Les réponses n'étaient toujours pas pour maintenant ? Tu fis un soupir, ta mère, après avoir caché son arme sous le lit s'installa confortablement et te regarda, elle sentait ce malaise qui t'envahissait, tu ravalas ta salive et la regarda longuement avant de prendre la parole :

«Pourquoi avoir menti ? On rejette la faute sur les autres c'est mal... »

« Slaine... Si j'ai menti c'était parce que sinon on ne nous aurait peut-être pas accepté. Je suis couverte de sang, j'allais pas dire que j'avais tué des gens et encore moins des soldats. Je ne t'en voudrais pas de penser ça, au contraire je te remercie. »

Elle te fit un sourire, tu ne savais pas comment prendre tout ça mais, elle n’avait sans aucun doute raison. C’est ce que tu te forçais à croire. Ta mère demanda à travailler à l’auberge, toi tu ne faisais rien de tes journées à part lire et relire le même livre. Après deux années là-bas, vous aviez finalement une maison, un peu éloignée du village. Tu avais retrouvé le sourire, tu n’avais rien oublié mais, tu étais heureux et tu n’avais aucune raison de le cacher. Ta mère ne tuait plus, cela te suffisait. Tu avais désormais 14 ans, tu étais encore petit, ta taille évoluait de manière très lente, tu restais tout aussi mignon que lorsque tu étais enfant mais, mentalement tu grandissais. Toujours le coeur sur la main, parfois tu aidais les gens que tu croisais, ou bien même à l’auberge où travaillait ta mère. Un jeune homme serviable, pleins de bonnes attentions qui peut-être agissait ainsi pour faire pardonner le mensonge de sa mère, peut-être que c’était par pure culpabilité. N’est-ce pas Slaine ? Futile, tout simplement futile. Ce ne sont que des foutaise, malgré tous les actes que tu pouvais faire, tu sentais que ce grotesque mensonge ne disparaîtrai pas, tu vivras avec le restant de tes jours, si tu étais heureux à ce moment-là, c’était uniquement parce que vous aviez rejeté la faute sur les autres, que vous avez trompé tout le monde. Puis vint ce jour, tu sentais que ta mère était de plus en plus stressée, le temps passait, dans moins d’un an tu allais avoir 15 ans, dans moins d’un an on allait t’arracher à ta mère. Tu en étais conscient, cependant, tu niais cette vérité, pourtant ta mère, semblait savoir mieux que quinconce que tu n’allais jamais revenir après. Jamais. C’est pour cela, que si jamais on réussissait à te prendre dans un an, à te faire devenir un parfait bon soldat, tu devais savoir avant que ce ne soit trop tard. Cet après-midi là, elle ne travaillait pas, c’était un bref congé, son regard était déterminé, tu ne savais pas à quoi t’attendre, quelle était cette affreuse vérité. Sans doute cela allait te changer à jamais, ta vision tes choses, ta vision des autres. Cette femme le savait très bien, cependant, il était temps pour toi que tu saches tout sur elle, sur ton « père » et sur la raison de votre fuite, le danger qui guette sur elle et tous ses péchés. C’est en prenant une grande inspiration qu’elle t’expliqua tout.

Chapitre 3 : Vérité

Seida, ta mère était une simple orpheline, abandonnée par ses parents, elle fut adoptée par de bonnes personnes, un vieux couple qui vivait avec leur petit-fils. Elle était plus grande que lui, pus âgée et aussi vide, le nom de ce petit garçon était Lucian, jeune homme aux cheveux noirs et aux yeux couleur ambre, si au début ils se considéraient comme frère, au fil des années, un amour se ressentit l'un pour l'autre, elle n'était alors âgée que de 13 ans et lui 11 ans, ils s'aimaient comme s'aimeraient deux enfants innocents et naïfs, cependant, ils comptaient énormément l'un pour l'autre. Puis, vint le jour où il fut emmené, à ce moment-là, elle se rendit compte à quel point elle l'aimait. Les années passèrent, son amour ne put disparaître, des nobles s'en prirent à cette pauvre famille qui l'avait si gentiment recueilli, n'ayant ni argent et que de faibles provisions, ils emmenèrent à la place la jeune fille de 19 ans, alors qu'elle se débattait, elle devint l'esclave d'un noble aussi bien avare qu'arrogant. Privée de liberté, elle était exploitée, détruite intérieurement, par son beau visage, le noble avait envie d'elle, de lui faire différentes choses. Homme cupide et pervers, Seida refusait, elle se battait de toutes ses forces, qu'elle soit puni cela lui était bien égal, ce droit n'appartenait qu'à Lucian, elle avait toujours l'espoir de le revoir, de vivre avec lui, de l'enlacer et de lui dire à quel point elle l'aimait. Cet espoir fut bref, un an après qu'elle soit devenue esclave, il n'y avait rien qu'elle pouvait faire, enfermée dans ce manoir, enfermée et privée de lumière, petit à petit elle se brisait, à l'intérieur, au plus profond de son âme, elle commençait à sombrer mais, elle n'avait pas le courage d'abandonner. Au final vint le jour où ce noble de pacotille lui prit sa virginité de force, elle fut anéantit, son espoir s’envolait doucement, elle se fanait telle une fleur. Cela arriva plusieurs fois, à chaque fois elle pleurait, laissant couler toutes les larmes de son corps. Son regard était vide, totalement vide, puis, plus les jours passaient, plus elle vomissait, avait des maux de tête et des maux de ventres, avec tous ces symptômes elle comprit vite qu’elle était enceinte. Cet enfant, elle ne l’avait pas voulu, ce connard non plus, c’était un accident, cela arrive tellement facilement. Pourtant, malgré qu’il ne soit pas voulu, malgré que son père ne soit qu’un sale noble qui l’a exploitée, détruite, violée, elle ne voulait qu’il meurt, elle ne voulait pas qu’un pauvre enfant qui n’avait rien demandé ne puisse pas goûter à la vie.Seulement si on apprenait sa situation, qui c'est ce qui allait arriver. C'était sans doute l'instinct maternel mais, pour protéger l'enfant qu'elle portait ainsi qu'elle-même, la jeune femme prit une décision : partir d'ici. Peu importait les moyens, ce qu'elle pouvait faire, enfin, elle prenait l'initiative de s'enfuir, elle ne savait pas comment faire. C'était embrouillé dans sa tête, que pouvait-elle faire donc ? Si c'était si facile que ça, elle n'aurait pas attendu autant de temps, de toute façon elle n'avait jamais essayé. Elle se trouvait trop faible, une recherche de liberté était vaine pour elle, la seule chose qu'elle pouvait faire c'était espéré, continuer encore et encore d'espérer mais, elle se rendit compte que pour obtenir des choses, attendre que ça se passe n'était pas la solution. Prenant son courage à deux mains, elle se mit à réfléchir à une solution pour partir, elle ne pouvait pas trop attendre, elle devait vite partir. Le soir même, alors qu'elle ne devait pas sortir de sa chambre, c'est ce qu'elle fit, marchant dans le couloir, le sol craquait sous son poids, n'était-ce pas dangereux de partir comme ça ? Sans rien ? Mais surtout, n'était-ce pas avare de vouloir prendre la nourriture ainsi ? Oh que si, cela l'était, entrant dans le garde-manger, prenant un sac et le remplissant de divers mets, elle passa par la cuisine, à sa plus grande surprise, elle vit l'odieux noble qui l'attendait, s'il lui demanda où allait-elle, Seida ne voulut répondre, elle le regardait d'un air déterminé et en colère, elle ne pouvait plus supporter d'être son chien. Celui-ci semblait énervé aussi, ne supportant qu'un chien la regarde comme cela, ne supportant pas qu'on le regarde ainsi, voilà pourquoi il lui gueula dessus, l'insultant et lui disant de retourner dans sa chambre. C'était de trop, auparavant, elle aurait obéi, incapable de quoique soit, trop terrifiée, trop stupide, cependant, ce jour-là, elle avait une autre vie à protéger. Ta mère lâcha le sac, se précipita pour prendre un couteau et le pointa vers l'homme. Il était terrifié et pourtant persuadé qu'elle ne lui ferait rien. Ou non, ce n'est pas ça. Il se persuadait qu'elle ne ferait rien. Néanmoins, sans hésitation, elle brisa ses espoirs avant même qu'il n'ait eu le temps de faire quoique soit, de réagir, de répondre à ses provocations. Le ventre transpercé, son corps tomba au sol, elle l'empêcha de crier puis, une haine finit par l'envahir, quel étrange sentiment, c'est comme si ce n'était pas assez. Elle continua de le planter, ses mains pleines de sang, son corps recouverts de tâche rougeâtre, le sol se peignait de cette belle et étrange couleur. Vengeance, haine, vengeance, haine. Satisfaction. Oui, alors qu'il était certainement mort, ce ne fut pas de la terreur qui l'envahissait car elle avait tué un homme, ni même du dégoût envers elle-même mais, de la pure satisfaction pour avoir ôté la vie de ce connard. Elle se leva, reprit le sac, en profita pour lui prendre de l'argent dans sa chambre et partit dans la plus grande discrétion, sans se faire voir, sans faire de bruits, le maître des lieux n'était plus, cela ne changeait pas grand-chose. Son regard aussi froid que de la glace tranchait parfaitement avec son sourire, sourire qui représentait toute sa joie et qui montrait à quel point elle était tordue.

La voilà enfin libre, oui, libre et seule avec l'enfant qui grandissait petit à petit dans son ventre. Il prenait petit à petit forme, elle marcha pendant longtemps, très longtemps, se nourrissant des mets qu'elle avait volés, il n'y avait pas grand-chose mais bon. Seida arriva finalement dans une ville vide, totalement vide mais, seulement à la surface car dans des tunels, vente d’esclave, de divers objets et de tout et n’importe quoi se trouvait. La voilà à Uziri, ville non loin de Khor, ville qui n’était qu’un géant marché noir. Elle pouvait prendre tellement de choses, il y avait de tout, ce qui l'émerveillait autant que ça l'a rendait triste en voyant les esclaves. Prenant une inspiration, elle marcha dans ces tunnels, prenant discrètement une cape pour cacher ses vêtements souillés, elle continua, regardant ce qu'elle pourrait prendre. Elle était désormais en mode survie, il lui fallait trouver de quoi vivre, pour elle, pour toi. Son ventre avait finalement prit forme, tu grandissais, il fallait qu'elle trouve un lieu où vivre. Elle avait de l'argent, une bonne somme d'argent volé, que pouvait-elle se prendre ? Aussi, elle était intéressée par prendre le bateau clandestinement pour Khor, ville pirate où elle pourrait peut-être trouver un lieu où vivre. En se baladant, elle vit un magnifique katana, son fourreau était d'un beau rouge avec la poignée noir et les ornements blancs, il lui plaisait énormément. Pourquoi était-elle aussi intéressée par une arme, objet qui sert à ôter la vie des autres. Se fut avec un grand sourire qu'elle se rappela de ce misérable noble, il y en avait tellement d'autres, il y avait tellement de pourriture, des gens qui profitaient des autres, des êtres dépourvus de sens, de sympathie. Ce monde est égoïste, dépravé, souillé, répugnant, voilà ce qu'elle pensait, voilà ce qui l'envahissait.Elle prit le katana, le serrant, elle déposa une somme d'argent, pas très grande mais, avec son regard noir et oppressant, le vendeur accepta la somme. Elle continua son chemin, marchant, son regard semblait s'être assombri, tout comme l'était ce lieu. Elle prit quelques trucs pour se nourrir, un peu de vêtements pour se changer. Que ce soit des choses volées ou non, cela l'importait, parfois elle prenait de l'argent furtivement pour avoir assez pour prendre le bateau. C'est ce qu'elle fit dès qu'elle le put, un bateau clandestin, elle donna la somme d'argent au marin, il ne put l'arnaquer, elle était déjà une jeune femme et peut-être qu'il la regardait avec des yeux malsains, le regard de ta mère, armée de sa nouvelle arme le fit redescendre sur terre. Elle y entra, il y avait pleins de clandestins, la route fut plus ou moins longue, ta présence n'arrangeait pas vraiment son voyage. Arrivé à Khor, elle quitta le bateau et prit le temps d'observer la ville. Il lui fallait une maison, un lieu pour vivre, peu importe où, pas besoin que ce soit grand, que ce soit prestigieux, juste, un endroit. Seida marcha, à travers les rues, elle vit une maison, pas très grande, pas très propre, ce n'était pas forcément agréable, il y avait quand même des lits de ce qu'elle pouvait voir par la fenêtre. Il y avait des gens, il se faisait tard, elle n'avait plus d'argent. Elle toqua, par espérance qu'on l'accepte, c'était des vieux, il n'avait pas la place pour une étrangère armée d'un katana, ils refusèrent cependant ta chère mère avait besoin de repos, elle n'avait plus vraiment la force de marcher, il était aussi probable que toutes les personnes refusent. Son choix fut évident, elle entra quand même et ne dépensa pas trop son énergie pour les tuer, ce fut rapide, simple. Les corps étaient encore dans la maison, pourtant cela ne la dérangea pas pour dormir. Le lendemain, ayant retrouvé plus ou moins ses forces, elle se débarrassa des corps sans se faire voir. Si pour continuer à vivre alors qu’elle n’avait pas d’argent elle devait voler ou même tuer, cela n’avait pas d’importance. Tu allais bientôt naître, il lui fallait gagner plus d’argent, le vol n’était pas assez et tué quelques personnes plus ou moins riches lui permettais de plus ou moins bien vivre. Comment allait-elle faire pour te mettre au monde ? Elle devait de se débrouiller seule, elle avait réussi jusque-là, cependant ce n’était pas une mince affaire. Pourtant, tu vins finalement au monde, avec beaucoup de difficultés, elle put te donner la vie. Jamais elle n’avait été aussi heureuse, tout ceci ne fut pas vint, néanmoins, en même temps, elle se rendit compte de ce qu’elle avait fait. De toutes ces vies qu’elle avait prise pour son propre confort, malgré tout elle continuerait de voler, de tuer, pour elle et pour toi, cependant tu n’en saurais jamais rien. En peu de temps, elle s'était fait un nom comme une grande tueuse, parfois ayant été aperçu, dans les bars et les casernes où se trouvent tous les malfrats, elle finit par y aller de temps à autre, si des gens voulaient en voir mourir d'autres, elle se proposait pour le faire à leur place. Si parfois elle rentrait blessés sans que tu ne le saches, si elle était couverte de sang sans que tu ne le saches c'était tout simplement parce que son travail consistait à tuer des gens, à voler, ta mère n'était pas une personne honnête et il y a deux ans elle s'était fait voir par la garde en train d'assassiner une noble, les gardes sont partis à ses trousses, il faut dire elle avait une prime sur la tête. Et voilà où vous en étiez aujourd'hui. Et oui Slaine, depuis le début, tu es le fils d'une assassin, un enfant né par accident et qui a pu vivre jusqu'à aujourd'hui grâce à ta mère qui a continué de marcher à travers des cadavres.

Chapitre 4 : Vengeance et nouveau départ

La vérité. Elle te brisa, tu la regardais terrorisé, incapable de réfléchir ni même de penser quoique ce soit. Tu partis te coucher, tu ne savais plus quoi faire, tu étais perdu, dans le vide complet. Le lendemain, ta mère ne travaillait pas, tu lui accordas un sourire triste et partis faire les courses, tu pensais que ta mère avait fait des choses horribles, que tu n'aurais jamais dû venir au monde, tu t'en voulais terriblement. Tu haïssais ce noble, ton père, toutes ces personnes qui avaient enlevé ta mère à cette famille, les soldats qui avaient enlevé l'homme qu'elle aimait. Tu achetas quelques fruits, quelques légumes, tu te demandais quoi faire à manger, tu réfléchissais à quoi lui dire par rapport à tout ça. Tu devais la soutenir, c'était ta mère, celle que tu aimais tant et puis... Les choses étaient ainsi, c'était trop tard pour avoir peur d'elle ou pour la rejeter, elle et ses péchés. Tu vis des soldats sortir de ta maison, ton coeur s'accéléra, tu avais un mauvais pressentiment, ils étaient partis, ils ne t'avaient pas vu, tu avais eu le réflexe de te cacher en les voyant. Une goutte de sueur coulait le long de ton visage, tu finis par rentrer, le coeur palpitant, devant la scène, tu lâchas ton panier, tu n'eus la force de crier, de bouger, tu restais figer. Le temps s'était arrêté, tu ne voyais plus rien, rien, à part le corps de ta mère, celle que tu chérissais plus que tout. Car elle avait voulu vivre dans ce monde, car elle s'est démenée dans ce foutu monde, car pour tout cela elle a tué, elle fut tué en retour. Ces gens qui avaient la belle vie ne pouvait pas comprendre, ils ne pouvaient pas, cela te submergea de terreur, de haine, oui de haine surtout, envers ces nobles qui avaient la belle vie, qui avaient tout pris à ta mère, qui exploitaient les gens, envers ces soldats qui avaient pris l'homme qu'elle aimait, qui avaient pris sa vie. Tu allas vers le corps, la serrant dans tes bras, les larmes vinrent finalement, effondré, sombrant dans le désespoir tu voulus hurler au point de t'arracher les cordes vocales, ta tristesse était tellement grande, elle était aussi grande que ta haine. Tu regardas dans la chambre de la défunte, cherchas et trouvas le katana, en effet, il était magnifique, pour se souvenir d'elle, tu décidas de le garder. Prenant le corps avec toi, tu voulus l'enterrer, lui donner un lieu où reposer en paix. Creusant la tombe avec tes mains, cela prit un moment pour faire le trou en entier et cela t'arracha le coeur de poser le corps à l'intérieur et de le recouvrir de terre. Tu continuas de pleurer, de pleurer sa mort pendant des jours, l'aubergiste était venu te voir, tu lui expliquas comme quoi ta mère était morte, tu ne pus lui dire pourquoi, tu préférais ne pas mentir, alors le silence était la meilleure solution. L'homme avait de la peine pour toi, il te donna quelques sous ainsi que des fleurs pour les déposer à la tombe, tu te rendis compte que tu ne pouvais rester ici. Tu ne voulais pas rester là où ta mère était, pas là où elle avait perdu la vie.C'est pour cela que tu pris tout l'argent qu'elle avait gagné, tout ce qui te restait, un sac avec quelques vêtements, des provisions, le katana puis tu partis, vers tu ne sais où, cela n'avait pas d'importance. Pendant ton voyage tu arrivas à Toryx, tu étais subjugué par toutes ces tavernes, cependant, tu vis une famille pauvre se faire agresser par des nobles, de funestes sentiments t'envahirent, ce fut sans aucune hésitation et par pur instinct que tu dégainas ta lame pour les transpercer, devant les yeux de plusieurs personnes, tu étais dans la pire des situations, les personnes que tu venais de sauver te prirent par la main et t'emmenèrent on ne sait où, pour se dépêcher ils se transformèrent en loup et l'un te demanda de te mettre dessus pour t'emmener, tu acceptas la proposition et alors que vous étiez bien loin de la ville, tu fis un long soupir de soulagement. Vous firent une pause qui n'était pas de refus, l'un des enfants te remercia pour ce que tu avais fait, des Ulfhedins, tu remarquas leurs oreilles et tu fis un sourire :

« Ce n'est rien. Ce n'est pas très noble de ma part. »

Oui, car tu avais tué quelqu'un, ils partirent e tu les saluas, tu regardais en arrière, par là où étais la ville, bien plus loin, là où tu avais ôté la vie de plusieurs personnes. Tu regardais tes mains pleines de sang, tu te rappelais de tout, de l'histoire de ta mère, de son corps, de lorsque tu avais dû l'enterrer. Un grand sourire apparut sur ton visage, tu riais, tu riais et te rappelais de la tête de ces nobles, lorsqu'ils sont morts ils font moins les malins, ils comprennent enfin leur erreurs. Tu avais l'air d'un vrai psychopathe à ce moment-là, enfin, tu l'étais presque non ? Il suffisait que l'image de ces êtres ignobles te traversent l'esprit pour que tu finisses par en rire, leurs cadavres t'amusaient, le fait qu'ils ne soient plus dans leur petit état confortable te satisfaisait, tu avais enfreint ce que t'avais toujours répété ta chère mère. Bizarrement, tu avais presque oublié ces paroles. Tu continuas ton voyage, sans vraiment savoir où aller, parfois tu prenais des pauses pendant des heures pour t'entraîner, tu t'étais trouvé un nouveau passe-temps, tu développais petit à petit tes propres techniques, si ton voyage était si lent et si long c'était sans doute à cause de ces longues heures passer avec ton épée. Le temps passait, tu grandissais, tu n'avais plus rien, la route devenait fatigante, tu t'écroulas à cause de la fatigue et de la faim. Ouvrant les yeux, tu vis des visages familiers, tu te réveillas en sursaut et tu vis les Ulfhedins que tu avais sauvé il y a quelques semaines déjà, voir des mois. Tu étais dans une grotte, ils semblaient heureux de te voir, le père prit la parole :

« On t'a trouvé inconscient sur la route. On ne put te laisser là, tu sembles affamé, mange donc. »


Tu pris le repas si gentiment proposé, ils attendirent que tu retrouves toutes tes forces pour que tu puisses reprendre la route cependant, les enfants s'étaient décidément attachés à toi et après de longs caprices tu finis par vivre quelques temps avec eux. Le père t'apprenait à chasser, te donnait des conseils pour te battre, tu n'étais pas doué pour le combat à mains-nues mais, tu développais une très bonne rapidité. La mère t'apprenait à faire la cuisine et tu t'amusais avec les enfants, tu étais heureux avec eux, tu avais l'impression que vous étiez une vraie famille. C'est presque 4 ans plus tard que tu découvres un objectif dans ta vie, alors que vous étiez à Chugon tu entendis parler du Liévathan, un bateau de pirate qui se battait pour les pauvres, ils attaquaient les riches et redistribuaient de l'argent aux pauvres. Leur lieu de rendez-vous n'était autre que Khor, ta ville de naissance. Une lueur d'espoir, tes yeux s'illuminaient, tu savais quoi faire. Toi qui étais envahit par une grande haine envers les nobles, envers les soldats, tu avais une chance de venger ta mère et d'aider ceux dans le besoin comme elle te l'avait souvent dit. Il était vrai, que tu étais heureux d'avoir vu les sourires de cette famille parce que tu les avais sauvés, en retour ils avaient fait de même, cette satisfaction était une raison bien plus que suffisante pour essayer de devenir un de ces pirates. Tu étais tellement admiratif, tu ne pensais pas que ce serait possible, peut-être n'était-ce qu'une rumeur, que ton ouïe t'avait jouer des tours, cependant, tu voulais que ce soit vrai. Tu fis part de ta décision ne leur donnant pas toutes les informations et tu partis avec de la nourriture que ces Ulfhedins t'avaient si gentiment donné et ils te proposèrent même de t'emmener à mi-chemin, accepter aurait été tellement égoïste, cela aurait été de trop mais, ils allaient insister et tu le savais. Te voilà de nouveau en voyage, tu continuais tes entraînements pendant les pauses que vous faisiez et tu te dirigeais vers ta terre natale. Ce merveilleux océan t'avait terriblement manqué, bien que tu aies de beaux souvenirs, tu en avais un terriblement mauvais qui te hantait, tout ça te rappelait ta mère et la haine t'envahissait de plus en plus. Devenant presque une source d'énergie en toi, pourtant tu restais souriant, vivre aux côtés de ces loups dans ces grottes t'avais fait changé d'air, cela t'avait redonné vie. A mi-chemin vers Khor, vos chemins se séparèrent, tu étais terriblement triste de leur dire au-revoir et terriblement heureux de les avoir rencontré, ils étaient de très bonnes personnes. Tu pris la route seul, le chemin était bien plus long d'un coup, tu fatiguais mais, tu finis par arriver à bon port et ce n'est pas un jeu de mot ! Tes yeux bleus se perdirent dans cet océan immaculé, ton regard brillait, scintillait, tu étais refait ! Tu n'avais pas d'argent, nul part où aller, tu te décidas d'aller dans une auberge, proposer de ton aider contre une chambre, et tu cherchas un moyen pour rejoindre les pirates car oui, tu ne savais pas comment faire. Et bien dis-donc Slaine, tu n'y avais pas réfléchi à tout ça, te voilà dans le pétrin. Tu avais beau avoir 18 ans, tu n'étais donc pas capable de réfléchir à tout cela avant de prendre des initiatives, l'excitation t'avait fait perdre la tête ? Il est vrai que tu ne l'as plus vraiment de toute manière, il suffit que tu te rappelles, que tu en vois et tu peux devenir fou, devenir un sadique alors que d'habitude tu es si gentil, calme et serviable avec ceux qui en ont besoin. Après plusieurs jours, le hasard te fit rencontrer un certain Sehun qui te recruta au Liévathan, ton rêve fut réalisé ! Tu allais pouvoir aider les pauvres, tués ces êtres ignobles, te venger d'une certaine manière tout en respectant une partie de la volonté de ta mère. Voilà depuis un an déjà, que tu braves les océans qui t’exaltent toujours autant, que tu te bats pour ta justice, cette justice qui fait ta force : celle d’aider les plus faibles.

≈ Yui ≈
Prénom irl. Cacahuète ! (bon en vrai Amandine mais, c'est moins classe) ≈ Âge. 15 ans ≈ où t'as connu FER ? TOP RPG c:


Petit mot. Très beau forum et très bon accueil ! EN plus du FE, j'adore FE ! J'aime  I love you


Recensement:
Slaine
Slaine
NOVICE
http://f-emblem-reversion.forumactif.com/t310-slaine-le-gentil-pirate
20/8/2018, 19:34
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Zero
bienvenuuuuuuuuuuuue woo
bon je te l'ai déjà souhaité, mais je préfère le dire plusieurs fois, comme ça, on est sûr fufufu
bon courage pour ta fiche, tu sais déjà que tu fais mon bonheur en jouant un pirate, Sehun se sentira moins seul Sad
bwef si besoin, tu sais qu'on est là pour répondre à tes questions etc ! n'hésites surtout pas dédicace à Nath enco
Zero
Zero
NIVEAU 3
http://f-emblem-reversion.forumactif.com/t41-zero-because-darkness-is-everywhere
21/8/2018, 09:37
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Linfan
Bienvenue ! hi or hello

Je pensais pas dire ça un jour, mais c'est le pirate le plus mignon que j'ai vu de ma vie... J'ai hate d'en savoir plus sur lui ! zero

Bon courage pour ta fiche ! keur
Linfan
Linfan
NIVEAU 1
http://f-emblem-reversion.forumactif.com/t256-linfan-have-you-seen-my-mother
21/8/2018, 11:15
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Slaine
Zeno : Mercii ^^ Ca fait toujours plaisir de l'entendre plus d'une fois fufufu
Je n'hésiterais pas !!
Linfan : Merci beaucoup ^^
Faut changer un peu les vieux clichés sur les pirates Cool
encore mignon ? la virilité s'est désormais envolé loin très loin
Slaine
Slaine
NOVICE
http://f-emblem-reversion.forumactif.com/t310-slaine-le-gentil-pirate
21/8/2018, 11:42
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Lucina
Hey ! hi or hello

Bienvenue, et bon courage pour ta fiche o/
Lucina
Lucina
NIVEAU 2
http://f-emblem-reversion.forumactif.com/t188-lucina-voyageuse-du-temps-et-des-dimensions-aussi-manifestement
21/8/2018, 11:58
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Elisa
Bienvenue officiellement keur

Bon courage pour ta fiche et tu sais déjà ou nous trouver si t'as des soucis/questions zero
Elisa
Elisa
NIVEAU 1
http://f-emblem-reversion.forumactif.com/t235-elisa-noble-archere
21/8/2018, 12:01
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Invité
Comment trigger les VRAIS petits en mettant "pas très grand" et "1m68" dans la même phrase.... grr
Je rigole, bienvenue à bord et courage !
Invité
Anonymous
Invité
21/8/2018, 16:29
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Divine Voice
besoin d'un peu de temps encore ? le délai se termine demain Very Happy
Divine Voice
Divine Voice
God
http://f-emblem-reversion.forumactif.com/t13-modele-de-fiche https://f-emblem-reversion.forumsrpg.com
31/8/2018, 14:53
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Slaine
Non c'est bon je termine ma fiche ce soir ^^
Slaine
Slaine
NOVICE
http://f-emblem-reversion.forumactif.com/t310-slaine-le-gentil-pirate
31/8/2018, 18:35
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Divine Voice
CONGRATULATIONS !


trop chouette cette histoire, elle m'a fait penser à celle de Sehun, ils ont vraiment des choses en commun ces deux-là, ils vont bien s'entendre, c'est certain fufufu
en tout cas, j'ai aimé te lire, bien que j'ai aperçu "Uziri" au lieu d'Uzuri mais ce n'est qu'une petite erreur pas bien grave, fait juste attention dans tes rp XDD Laughing
bwef, très agréable cette fiche jpp
bienvenue chez les pirates, sur le Leviathan o7


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Divine Voice
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God
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4/9/2018, 11:19
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